Le feu couve sous la Braise

Catégories : Rencontres BDSM FANTASME
il y a 7 ans

Le feu couve sous la Braise

Ce matin, je prends mon café tranquillement pourquoi m'inquiéter. Je vis dans le centre, j'ai un appart payé par mes parents proche de ma fac. Ce matin pourtant je n'ai pas cours mais j'ai un truc important à faire. Il faut que j'aille acheter du cana gare du nord.

Et oui, moi marie 22ans étudiante j'aime les soirées maroco entre amis.

Me voila prête, après un bol de céréale et deux tartines, je me rends en métro gare du nord. Il fait froid en ce mois de novembre. Vivement les vacances de noël. Oui avec mon copain et ses parents on va partir en Autriche.

Une fois sur place si tu connais ton dealer c'est facile. Carole m'avait mise en relation avec un certain Marc. Le passe un coup de fils à ce marc et je l'attends, rien de très compliqué. Le voila,

-"Salut Marie c'est ça? Ca va?"

-"Oui et toi c'est Marc."

-"Oui Carole m'a parlé de toi tu es réglo"

-"Oui, Pas trop dur pour venir"

-"Si c'est le bordel, j'ai rien pu amener, il y a des keuf partout."

-"m e r d e, Marc demain j'ai des invités."

-"Oui Marie je sais mais on peu gérer ça. On va la chercher chez moi et on revient sur paris comme un couple pas de risque avec toi. Une blonde ça ne se fait jamais contrôler."

-"Oula, ça c'est l'embrouille ça"

-"Marie, tu décides si t'en veux tu me suis sinon tu te casses."

-"Bon ok mais on fait vite."

On prit les transports en commun juste que dans la cité du nord est de la capitale. Pas jolie on marche. On tchatche un peu sur le chemin. On se dirige vers une des nombreuses tours du quartier. En bas, un groupe de jeune, Marc discute avec eux. Je suis copieusement sifflée.

Marc n'est pas étonné de l'accueil. Je sens qu'il est assez fier de son effet.

On monte. L'ascenseur sent la pisse. Il est complètement tagué. 5ieme. Voila appartement 54. Marc frappe, un black assez baraque ouvre et le fait rentré. Moi je reste sur le pas de la porte. Etonnée ! Mais bon. La porte s'ouvre Marc me présente à Armand. On rentre.

-"Marie tu veux du cana," me demande Armand

-"Oui, j'en voudrais 150 grammes. J'ai l'argent. "

-"C'est bien c'est bien. Tu es une régulière de Marc? "

-"Euh non, c'est la première fois"

Armand attr a p e son téléphone. "Ouais c'est moi, tu montes avec fouad. Oui vite. "

-"Marie, voila la marchandise arrive."

La porte s'ouvre deux jeunes arrivent. Armand on est la.

Je stresse un des jeunes a un couteau. Armand annonce marc tu as fait du bon boulot. On tient notre otage. m e r d e j'essaye d'atteindre la porte on me chope par le bras.

Je suis plaquée sur le sol par les deux jeunes. Marc referme son blouson et m'enjambe.

La porte se ferme, je suis seule avec mes ravisseurs. Armand se penche a coté de moi. Ecoute -"Marie, c'est bien ça."

-"Oui;"

J'aime avoir des esclaves à mon service. Surtout des esclaves comme toi. Alors maintenant tu es à moi.

Je panique, j'essaye de me débattre. Non Non. Laisser moi partir.

Calme toi Marie tu ne peux plus rien changer maintenant à ta destinée.

On me tord les bras le poignets je suis menottée. J'ai mal. Ils me redressent. "Ecoute petite pute", un couteau à la main Armand me parle "tu ne parles pas tu ne dis rien tu ne fais rien ou je te crève".

On se retrouve dans l'ascenseur un main ferme me malaxe ma poitrine, face à la paroi, je fixe le mur métallique et taggué. Quelques étages plus hauts, ils me poussent dans un appart. Enfin une sorte d'appart. Il me jette dans une pièce sur le sol trois matelas, usagés.

Armand et ses deux acolytes me regardent, je tremble, je pleure. Un des deux a une bâte de baseball. Ils ferment la porte de la pièce à clef, ensuite on me détache.

-"Déshabilles toi"

-"Non"

-"Choisi c'est ça ou on te refait le visage avec la bâte."

Je tremble mais je m'exécute. Après les vêtements d'hiver j'en viens aux sous-vêtements.

-"Plus vite"

J'essaye de cacher mon intimité avec mes mains. Je suis rouge de honte.

-"Tourne toi"

-"Oh le cul! Elle est bonne."

-"Retire tes mains"

Je ne réagie pas

-"Fouad."

Fouad s'avance la bâte à la main. Je retire mes mains. Il s'approche je recule. Aculée contre le mur, il l'appuis sur mon ventre. Il contourne mes seins. Il soulève mes bras. Me lie là les bras en l'air.

Armand s'approche, "Voila, ce que j'appelle une belle blanche. Tu connais le dressage Marie, tu sais comment on dresse une femelle?

-"Euh non"

Le dressage d'une femelle c'est comme pour les chevaux. Il faut les casser ensuite elle sont dociles."

-"Tourne toi voila, mets tes mains sur la tête, c'est bien cambre toi." La bâte est sur mes reins.

J'attends des vêtements.

-"Retourne toi." Armand est nu. Il est musclé, sec. -"Mets-toi à quatre pattes!"

J'obéie.

-"Regardez moi ce joli abricot qui ressort."

Il se place derrière moi. Et je sens sa main ferme entre mes cuisses, sur mon sexe. Il le caresse, un doigt s'insinue en moi me faisant tressaillir

Fouad se place devant moi, il place la bâte au niveau de ma bouche et m'ordonne de la lécher. Je sors une langue timide. Je reçois une claque sur les fesses, Armand m'ordonne de lécher avec amour. J'y mets toute mon énergie. Il continue à me fouiller. Fouad passe la moi. Il lui passe cet engin. Armand, la passe entre mes jambes, la frotte à mon sexe. Il m'oblige à avancer à quatre pattes poussée par cet objet.

Il l'éloigne, Sa main caresse mes jambes, il me prend les jambes et me retourne sur le matelas. Ecarte tes jambes Marie. Allez plus vite. Il se place sur moi

J'ouvre les yeux d'effroi devant ce sexe sans capote. Il plonge en moi, me déchire. Je crie quand brutalement Armand plonge entre mes cuisses

Il me pénètre me fend en deux. Il est viril je recule sous ses coup de boutoir. Je crie. Je regarde le plafond, son visage crispé qui se couvre de sueur.

Il se crispe, il a joui. Il se relève. Tu es une bonne esclave Marie, je vais te garder. Fouad, Malik attachez la bien. On la prendra ce soir.

Je suis déplacée sans ménagement par les deux potes d'Armand. Ils me menottent les mains dans le dos. Ils menottent aussi mes pieds, un bâillon complète leur œuvre. Je suis complètement paniquée. Je pleure, essaye de crier, de me débattre. La lumière s'éteint. Je hurle dans mon bâillon.

Je perds la notion du temps, Plusieurs heures après je pense la lumière s'allume ils reviennent Armand est la. Je suis détachée il me laisse le bâillon et me plaque contre le mur. Armand s'approche de moi.

Petite chienne je suis sur que tu en veux encore. Hein, Réponds.

-"Oui."

C'est bien, j'ai bien lu tes papiers tu es une sale bourge. Cela me fait encore plus plaisir de t'avoir ici. Fouad vas te prendre ensuite on verra.

Il me tient par le cou je sens d'autre main me malaxer les fesses. D'une main ferme il me guide à terre où je suis mise à quatre pattes.

La encore, il n'y a pas de préliminaires. Je crie lorsque le sexe de Fouad me pénètre. La levrette se passe sans aucun sentiment, à part le souffle rauque. Il finit rapidement son œuvre.

Je m'effondre, sans f o r c e .

Armand fait sortir ses deux potes, Il se penche sur moi. Pas mal pour une première. Je te sens gourmande. Tu aimes cela, cela te change de ton missionnaire avec ton copain. J'ai bien lu tes papier je te conseille de ne parler de ce que tu viens de vivre a personne sinon la bâte que tu as vu tout à l'heure servira.

-"Tu m'as compris?"

-"Oui."

-"Oui qui?"

-"Oui maître!"

C'est bien tu apprends vite. Je pense que l'on peux faire des choses tous les deux. Si j'ai envie de toi je te le dirais.

-"Allez habilles toi. Et casse toi. "

Je me jette sur mes habits que j'enfile à la hâte.

Et n'oublie pas ta came.

-"Allez viens la." Il m'embrasse. Je ne lui résiste pas.

Je suis rentrée chez moi épuisée. Marquée je n'était plus la même. Pendant deux semaines je n'ai plus entendu parler d'Armand. Je reprenais peu à peu ma vie d'avant.

C'était un mardi soir, j'étais seule ce soir la, Quelqu'un a frappé chez moi. J'ouvre c'était Armand. J'étais pétrifiée. Il rentre et referme la porte derrière lui.

-"Alors Marie, on n'est pas contente de revoir son maître."

-"Euh non mais si.?"

A voila cela me fait plaisir, rappelle toi, il me semblait que la dernière fois tu n'avais pas pris ton pied, j'avais envie de rattr a p e r ça.

-"Allez, viens embrassez ton maître."

J'y vais à reculons. Il m'embrasse sa langue s'enfonce longuement. Il m'entraîne vers le canapé. On discute, je lui parle de ma vie. Il visite même mon appart. Il parle fringue, je le trouve bien habillé.

Il m'interroge sur ce je suis, questionne ma vie. Oui c'est vrai j'ai un mec pas mal, bourge c'est sur, sympa oui je peux le dire. Armand, me demande si cela me plait d'être presque mariée et de baiser en missionnaire. C'est vrai! Je dois bien l'avouer avec Laurent c'est pas le panard tous les jours, euh même pas souvent.

-"Alors Marie, tu l'aimes pour son fric ou son membre ton male?"

-"Euh.... L'interrogation me laisse sans voix."

C'est sa bouche, sa langue qui me sorte de ma torpeur, Armand me dévore, je le lui rends. Cela dure une éternité. Sa bouche s'éloigne, je la suis-je la veux. Il m'arrête d'un doigt dressé et ferme.

  • Marie retire ton haut. Je veux revoir tes seins.

-"Oui, Armand."

Rapidement, je retire mon top. Il plaque sa main ferme sur mon sein gauche. D'un doigt, il titille mon téton. Je glisse dans le canapé, envoûtée, je ferme les yeux. Il déboutonne mon jean. D'un geste rapide, il le retire, ma culotte suit, abandonnée.

Il pose sa main sur mon sexe, C'est chaud, humide. Son doigt glisse le long de ma fente, remonte cherche mon bouton de plaisir. Minuscule, il en joue comme d'une bille, je fonds. Je l'entends se déshabiller. Il me sort de ma torpeur, prend ma main et la pose sur mon sexe.

Son sexe, un gros sexe noir bien dressé, luisant de désir. Nous glissons sur la moquette. Marie, je suis sur que tu ne demandes pas mieux que d'apprendre!

-"Oui Armand, Apprend moi."

Il glisse sa tête entre mes cuisses. Je sens sa langue me pénétrer.

Je veux contracter mes cuisses autour de sa tête, il les écarte v i o l ement avec ses bras se relève et m'embrasse. Sa langue a un goût exquis. Il entre en moi. Humm... Je m'abandonne. Il me pilonne, je sens les coups de boutoir à l'intérieur de mon ventre. Je me plains, je crie. J'ai jouis. Encore...Cela dure. Il éjacule.

Du coin de l'œil, je le regarde il s'habille,

-"Marie, tu es superbe quand tu jouis. Je reviendrais bientôt pour d'autres leçons. Tu es une bonne élève."

Je me lève... un baiser chaste sur la joue et il part.

Laurent, je l’ai quitté. Je n'irai pas faire de ski en Autriche.

badine

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